Danser sa Propre Danse

 

Nous serons plus heureux si nous acceptons le fait,  

Qu'on voit chacun dans sa propre peau, ça, c'est un pacte.  

Les yeux des autres, ça brille, ça juge, ça louche,  

Mais au fond, leur vision, ce n'est pas notre loupe.  

On cherche toujours l'approbation, les regards admiratifs,  

Mais c'est juste des illusions, des reflets, des décors narratifs.  

Ils nous disent quoi porter, comment parler, où marcher,  

Mais à la fin de la journée, ce n'est pas eux qui décident qui on est.  

On vit dans notre corps, on sent ce qu'on ressent,  

Chaque battement de cœur, chaque instant présent.  

Les regards des autres, ça peut piquer, ça peut gratter,  

Mais ce n'est pas eux qui définissent ce qu'on veut incarner.  

Leurs opinions, leurs jugements, c'est des chaînes qu'on s'impose,  

Des chaînes invisibles, mais qui nous tiennent en otage,  

On avance en boitant, on hésite à chaque étape,  

Parce qu'on craint le regard, le jugement, le clap-clap.  

Mais la vie, c'est un souffle, c'est un battement de cœur,  

Ce n'est pas fait pour vivre dans la peur du regard extérieur.  

Chacun sa peau, chacun ses rêves, ses ambitions,  

C'est en suivant son chemin qu'on trouve sa direction.  

Tu veux être plus heureux? Accepte ce simple fait,  

Qu'on vit dans sa propre peau, c'est là qu'on se doit d'être vrai.  

L'opinion des autres, c'est des vagues sur l'océan,  

Des hauts, des bas, ça change avec le vent.  

Mais ta peau, c'est ton refuge, ton abri, ta maison,  

C'est là où tu vis, là où tu trouves ta raison.  

Alors arrête de te plier, de te courber, de t'effacer,  

Pour plaire aux autres, pour suivre ce qu'ils veulent dicter.  

Chacun son histoire, chacun ses cicatrices,  

Ses épreuves, ses victoires, ses rêves, ses délices.  

Il n'y a pas de recette, pas de norme, pas de code,  

C'est à toi de décider quelle sera ta méthode.  

Alors écoute ton cœur, ton instinct, ton souffle,  

Laisse de côté les jugements, oublie les fausses louanges.  

Tu es plus fort, plus belle, plus sage que tu ne le penses,  

Et le vrai bonheur, il commence quand tu danses ta propre danse.