Pourquoi vivons-nous, si ce n’est pour nous rendre la vie moins difficile ? George Eliot
Nous sommes venus au monde, non avec un plan gravé dans la pierre, mais avec un potentiel infini à exploiter. Chaque pas, chaque décision est façonné par notre libre arbitre. Oui, la vie n’a jamais été simple. Dès l’instant où nous naissons, nous pleurons, comme pour annoncer que la lutte commence. Pour chaque souffle, chaque bouchée, notre corps travaille sans relâche, portant le poids de notre existence, sans jamais fléchir. Alors, nous, en tant qu’esprit, que faisons-nous pour alléger ce fardeau?
Les épreuves sont nombreuses, les défis constants. Mais ce n’est pas un signe d’impuissance ou d’une destinée écrite en avance. Ces obstacles existent pour nous apprendre que le chemin vers nos objectifs est parsemé de multiples voies. Et si une porte se ferme, il y a toujours d’autres opportunités à saisir, des détours à emprunter, des solutions à inventer. Nous ne sommes pas esclaves des circonstances.
La vraie question est : que faisons-nous avec ce don de la vie? Trop souvent, nous nous laissons abattre par les difficultés, pensant que le monde conspire contre nous. Mais n’est-ce pas là une manière de fuir notre responsabilité? Ce corps qui ne cesse de nous porter mérite mieux. Il mérite que nous fassions des choix qui le conduisent vers une existence plus sereine, plus épanouie.
Vivre, ce n’est pas seulement survivre. C’est bâtir, c’est créer. C’est se réveiller chaque jour en se demandant ce que nous pouvons faire pour que ce corps, cette vie, cette existence soient moins lourds, moins accablants. Et si nous vivons, si nous persévérons, ce n’est pas pour autre chose que pour rendre chaque jour un peu plus doux, un peu moins difficile.
Alors, pourquoi vivons-nous? Peut-être pour découvrir que la vie, malgré ses luttes, ses larmes et ses combats, est une chance inouïe d’inventer notre propre bonheur. Une chance de rendre la vie, à nous-mêmes et aux autres, moins difficile.


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